Je discute avec Jean-Luc Nancy aux abords de la Université Marc Bloch, mais il n'avait pas sa tête à lui. Il avait la tête d'un de mes ancien patron, quelqu'un pour qui j'ai de l'estime, et de plutôt pragmatique. J'évoquee la difficulté à transmettre mes idées philosophiques tant du fait de la réticence du monde à les recevoir que de ma difficulté à les formuler. Il me répond alors: "Il faut commencer à n-2."
Discussion avec Jean-Luc Nancy
Journal des Rêves - Ou comment l'un de mes anciens professeurs m'indique comment commencer.